Le jeudi 20 février 2025

Jour de deuil - comment ne pas être solidaire...

Les humains que nous sommes avons le cœur brisé en regardant les cercueils qui nous sont rendus à la place des otages vivants que nous attendions depuis plus de 500 jours. 

Nous avons espéré jusqu’au bout, en dépit de ce que notre voix intérieure nous disait depuis ce 7 octobre 2023, lorsque des hordes de monstres terroristes se sont abattues sur le sud d’Israël. 

Elles ont détruit, brûlé, violé, kidnappé, torturé des jeunes, des vieux, des kibboutz, des participants à
une fête en honneur justement de la paix avec les voisins arabes, quelle ironie !

Un pogrome dans le sens le plus pur du mot. Plus de 1200 civils israéliens tués parce-que Juifs. 

Ça ne rappelle rien ? Si ? Les nazis l’ont déjà fait et que différencie les voisins arabes du Hamas des nazis d’Hitler ? Rien.

Nous n’oublierons jamais les images que ces monstres on soigneusement filmées, une mère serrant dans ses bras deux petits enfants dont un bébé, son regard effrayé, les petites têtes rousses des enfants. Shiri Bibas avec Ariel et Kfir Bibas. Les martyrs inoubliables de cette tuerie.

Ariel qui aimait tellement Batman, le bébé Kfir dont le sourire sans dents faisait fondre n’importe qui. 

Pas les arabes terroristes du Hamas, bien sûr. 

Ils sont revenus en terre d’Israël dans des cercueils, car Juifs. 

Le bébé Kfir, le plus jeune otage du monde, 9 mois.

Resté le symbole de tous les otages que le Hamas, avec la collaboration de la majorité des civils gazaouis, ne l’oublions pas, a distribués un peu partout dans les tunnels, les torturant à souhait, les tuant parfois, les laissant mourir tout seuls de souffrance. 

Le Hamas, tout ce que l’humanité a pu produire de plus monstrueux.

Nous sommes tous menacés, nous, les humains civilisés, de toutes les religions et de toutes les couleurs. 

Soyons vigilants, sinon notre tour viendra partout où nous sommes , les monstres sont partout.


Nous envoyons notre amour et notre profonde compassion à Yarden, le papa Bibas, kidnappé le même jour mais pas gardé au même endroit. 

Libéré il y a deux ou trois semaines, il attendait encore sa famille, dans l’ignorance et l’angoisse.
« Ma lumière est restée à Gaza », disait-il en espérant.

Que leur mémoire soit bénie !

 

"Les cadres de la fédération d'Eure-et-Loir, de toutes confessions, de toutes origines, apportent leur soutien à l'ensemble des membres de la communauté israélienne d'ici ou d'ailleurs, croyants ou non"


Jeana Altbuch